Un samedi comme je les aime: beaucoup de monde est prévu.
Fév 152008
On ne peut pas préparer tous les samedis des plats complexes, et comme je vous l’ai déjà dit: les pates étaient un des plats récurents des samedis midi, dans ma jeunesse.
Comme je n’avais pas pu en faire la semaine précédente, je n’avais guère le choix: une pkaïla pour ce samedi là.
Ce samedi là, ma soeur m’a coincé: toute la famille était invitée le lendemain à l’anniversaire des 20 ans de ma nièce et le plat principal était une pkaïla, celui-là même que j’avais prévu !
Après quelques agapes nîmoises pour les fêtes (dont un couscous – au chapon! – pour le réveillon), retour aux bases parisiennes: c’est samedi, c’est la famille.